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Book Modalit  s de la prescription de l activit   physique par le m  decin traitant en pr  vention secondaire et tertiaire aupr  s de m  decins g  n  ralistes fran  ais

Download or read book Modalit s de la prescription de l activit physique par le m decin traitant en pr vention secondaire et tertiaire aupr s de m decins g n ralistes fran ais written by Perrine Capron and published by . This book was released on 2016 with total page 91 pages. Available in PDF, EPUB and Kindle. Book excerpt: L'activité physique a maintenant bien démontré ses bénéfices en termes de prévention et de traitement des maladies chroniques telles que le diabète ou les maladies cardia vasculaires. L'objectif de cette étude était de déterminer les connaissances et les modalités de la prescription d'AP en prévention secondaire et tertiaire auprès des médecins généralistes Français. Des questionnaires papiers ont été distribués au sein d'un congrès de médecine générale alors que des questionnaires internet ont été envoyés par mail à des connaissances médicales. Cent cinquante six questionnaires ont pu être analysés. Soixante-seize pourcents des médecins déclaraient connaître les recommandations et les contre-indications concernant la pratique d'AP chez les personnes atteintes de maladies chroniques. Pourtant 66% des médecins déclaraient ne pas se sentir compétent à prescrire de l'AP. Les moyens de prescription utilisés étaient en grande majorité les conseils verbaux puis l'orientation vers un professionnel spécialisé (kinésithérapeute, service hospitalier de rééducation, club de sport...). Les principaux freins à la prescription d'AP étaient le manque de connaissances des recommandations et des contre-indications, le fait que le médecin ne savait pas quelle activité prescrire et l'absence de connaissances de correspondants. Les aides évoquées étaient surtout un guide de prescription et des soirées de formation. Les méthodes de suivi de cette prescription misent en avant étaient la diminution des médicaments des patients, l'évaluation de leur bien-être, puis des méthodes de quantification de l'AP. Pour conclure, les médedns répondants étaient globalement volontaires à prescrire de l'AP à leurs patients de pathologies chroniques mais ne se sentaient pas suffisamment formés, ne savaient pas à qui adresser leurs patients ni comment les suivre.