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Book La ventilation non invasive dans la d  faillance respiratoire aig  e hypercapnique au sein du service d accueil des urgences du CHU de Dijon

Download or read book La ventilation non invasive dans la d faillance respiratoire aig e hypercapnique au sein du service d accueil des urgences du CHU de Dijon written by M'hamed Khaif and published by . This book was released on 2018 with total page 0 pages. Available in PDF, EPUB and Kindle. Book excerpt: Introduction : Après avoir fait ses preuves dans les services de réanimation au cours des années 90, la ventilation non invasive (VNI) a commencé progressivement à être utilisée dans les services d’urgence au cours des années 2000 avec une grande variabilité qui a motivée la conférence de consensus de 2006. Méthode : Cette étude rétrospective porte sur la pratique de la VNI dans l’insuffisance respiratoire hypercapnique au sein du Service Régional d’Accueil des Urgences (SRAU) du CHU de DIJON incluant 135 patients du 15/09/2013 au 01/05/2015. Résultats : Nous avons constaté en sortie une amélioration du pH (7.34 contre 7.26 ;(p

Book Enqu  te observationnelle prospective concernant l utilisation de la ventilation non invasive au service d accueil et urgence du CHU de Nantes

Download or read book Enqu te observationnelle prospective concernant l utilisation de la ventilation non invasive au service d accueil et urgence du CHU de Nantes written by Julien Lorber and published by . This book was released on 2005 with total page 228 pages. Available in PDF, EPUB and Kindle. Book excerpt: Nous avons réalisé un état des lieux de l'utilisation de la ventilation non invasive pour insuffisance respiratoire aigue aux urgences de Nantes par le biais d'une étude prospective observationnelle sur 6 mois (49 cas). On constate une mortalité importante (28,6%). La ventilation non invasive semble utilisable aux urgences en cas d'exacerbation de bronchopneumopathie chronique obstructive et d'insuffisance respiratoire hypercapnique. La prise en charge de l'œdème aigu du poumon avec une ventilation à deux niveaux de pression est plus discutable, la ventilation à pression positive continue semblant préférable. Les autres causes d'insuffisance respiratoire aigue ne devraient pas être ventilées aux urgences, sauf cas particulier. Il existe une population non négligeable en limitation de soins actifs nécessitant une prise en charge spécifique. On observe enfin un recours insuffisant au réanimateur. En conclusion, la ventilation non invasive semble utilisable aux urgences de Nantes pour certains cas d'insuffisance respiratoire aigue, moyennant une sélection des patients et une surveillance adaptée.

Book Initiation d une Ventilation Non Invasive chez les patients BPCO en exacerbation admis aux Urgences puis transf  r  s en R  animation

Download or read book Initiation d une Ventilation Non Invasive chez les patients BPCO en exacerbation admis aux Urgences puis transf r s en R animation written by Loïc Grandin and published by . This book was released on 2021 with total page 0 pages. Available in PDF, EPUB and Kindle. Book excerpt: Introduction : La bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) est une maladie respiratoire chronique marquée par des phases de décompensation à l'origine d'épisodes de détresse respiratoire aiguë (DRA) motivants une admission des patients en exacerbation dans le service d'accueil des urgences vitales (SAUV) pour la mise en place d'une ventilation non invasive (VNI) et dans certains cas d'une ventilation invasive après intubation oro-trachéale (IOT), nécessitant un transfert et une hospitalisation en unité de Réanimation. Nous avons souhaité étudier et décrire cette population de patients BPCO en exacerbation sous VNI et rechercher si certains facteurs pouvaient prévenir l'intubation oro-trachéale et la ventilation invasive. Matériels et méthodes : Étude rétrospective observationnelle et descriptive concernant l'initiation d'une VNI chez les patients en exacerbation de BPCO admis en SAUV et secondairement hospitalisés en réanimation entre le 1er janvier 2015 et le 31 décembre 2019. Résultats : Nous avons inclus 109 patients dans cette étude en comparant deux groupes : 75 patients dans le groupe « VNI seule » et 34 patients dans le groupe « VNI + ventilation mécanique (VM) ». L'âge médian de la population est de 64 ans avec une prédominance masculine (68,8 %). En analyse univariée, nos deux groupes diffèrent significativement en terme de valeurs de gaz du sang, de durée de VNI, de durée de séjour, de score de gravité (SOFA, SAPS II) et de traitements reçus, que ce soit en SAUV ou en réanimation. Après ajustement multivarié, trois variables étudiées diffèrent significativement entre nos deux groupes : l'administration d'aérosols en pré-hospitalier (OR [IC95%] = 4,66 [1,23 ; 23,22], p = 0,035) ; l'utilisation d'une machine personnelle de VNI au domicile (OR [IC95%] = 4,53 [1,57 ; 14,63], p = 0,007) ; et un pH > 7,3 sur le gaz du sang initial lors de l'admission aux urgences (OR [IC95%] = 3,22 [1,20 ; 9,09], p = 0,022). Ces trois variables sont associées de manière significative à l'absence de recours à l'intubation. Conclusion : L'administration d'aérosols en pré-hospitalier, l'utilisation d'une machine personnelle de VNI au domicile et un pH supérieur à 7,3 sur le gaz du sang réalisé à l'admission aux urgences ont été retenus comme facteurs protecteurs de l'IOT chez des patients traités par VNI au cours d'une exacerbation aiguë de BPCO. Cette étude pourrait donc guider les médecins urgentistes dans la prise en charge de ce type de patient concernant l'évolution clinique en prévision d'une IOT et l'orientation post-urgence vers un service de médecine ou de réanimation.

Book D  lais d initiation de la ventilation non invasive aux Urgences

Download or read book D lais d initiation de la ventilation non invasive aux Urgences written by Marina Pinto and published by . This book was released on 2017 with total page 74 pages. Available in PDF, EPUB and Kindle. Book excerpt: Ntroduction : la ventilation non invasive (VNI) constitue le traitement de première intention de la défaillance respiratoire aigüe, notamment au cours de l'OAP et de l'EBPCO. Plusieurs études ont démontré qu'une initiation précoce de la VNI dans ces contextes avait un impact majeur sur le pronostic du patient. Le but de ce travail était d'étudier le délai moyen d'initiation de la VNI aux urgences, et d'étudier son impact sur la mortalité des patients, le taux d'IOT, la durée d'hospitalisation, et la réadmission précoce. Matériel et méthode : étude rétrospective aux Urgences du CHU Besançon sur l'année 2016. Etude des délais d'initiation de la VNI au service d'accueil des Urgences adultes dans le cadre du traitement de différents types d'insuffisances respiratoires aigües ou en pré-oxygénation avant intubation orotrachéale. Une comparaison a été effectué entre le groupe de patients recevant la VNI dans les 120 minutes après l'admission (groupe précoce VNlp), et le groupe recevant la VNI à partir de 120 minutes après l'admission (groupe tardif VNlt). Résultats : inclusion de 169 patients, dont 108 dans le groupe VNlp, 54 dans le groupe VNlt et 7 dont l'heure d'arrivée était inconnue. L'âge moyen dans la population globale était de 75 ans, ce qui était superposable à la moyenne d'âge dans le groupe précoce et tardif. Les motifs d'introduction de la VNI étaient l'acidose, l'hypercapnie, l'hypoxie, la détresse respiratoire aigüe ou la pré-oxygénation avant IOT. Le groupe VNlp connaissait un taux de mortalité hospitalière et précoce et un taux d'intubation supérieur au groupe VNlt. Ces constatations peuvent s'expliquer par une gravité initiale plus marquée dans le groupe VNlp. La durée d'hospitalisation ne différait pas entre les deux groupes. Le taux de réadmission était sensiblement plus important dans le groupe VNlt. Conclusion : dans ce travail rétrospectif, un délai d'initiation rapide de la VNI n'est pas corrélé avec une mortalité plus faible, comparativement au groupe ayant une initiation plus tardive. Cependant les deux groupes ne sont pas comparables, en particulier en ce qui concerne la gravité, plus élevée dans le groupe ayant eu une initiation précoce.

Book   tude des facteurs li  s    l   chec de ventilation non invasive aux urgences du CHU de Dijon

Download or read book tude des facteurs li s l chec de ventilation non invasive aux urgences du CHU de Dijon written by Léa Soucheleau and published by . This book was released on 2023 with total page 0 pages. Available in PDF, EPUB and Kindle. Book excerpt: Introduction. La ventilation non invasive (VNI) est une thérapeutique incontournable dans la prise en charge des insuffisances respiratoires aiguës aux urgences. Le but du travail est de déterminer les facteurs menant à l'échec de la VNI dans notre service. Matériel et méthode. Cette étude observationnelle, prospective, a inclus 128 patients bénéficiant de VNI aux urgences du CHU de Dijon entre Janvier et Août 2023. Les données de prise en charge médicale globale des patients dans le flux des urgences ont été comparées selon qu'ils remplissent les conditions d'« échec » de VNI ou non. Résultats. Les patients du groupe « échec » (n=41) présentent une tension artérielle et un score de Glasgow plus bas, un foyer radiologique plus fréquent, des marqueurs infectieux (PCT, CRP) plus hauts, des paramètres de gazométrie plus péjoratifs que les patients du groupe « non échec ». L'échec est plus fréquent en cas de mauvaise tolérance du masque (OR=5,04 [IC95%: 1,39-18,25], p=0.0159). Le nombre de patients en attente aux urgences est plus élevé dans le groupe « échec » que dans le groupe « non échec » (14 [7-20] vs. 10 [3-15], p=0,013). Discussion. Malgré ses limites, ce travail met en évidence des facteurs d'échec de VNI propres au patient (état clinico-biologique, tolérance du masque) et extrinsèques (afflux de malades), ce qui permet d'envisager une amélioration de notre pratique professionnelle, en accordant un temps adéquat au patient mis sous VNI. Conclusion. Ce travail dresse un état des lieux du traitement par VNI dans notre service, avec un taux d'échec d'un tiers, nous obligeant à optimiser la prise en charge en tenant compte d'autres critères que ceux liés au patient.