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Book La Circoncision Dans la Torah  Entre Ex  g  se Et   gyptologie

Download or read book La Circoncision Dans la Torah Entre Ex g se Et gyptologie written by Michel Hervé Bertaux-Navoiseau and published by . This book was released on 2019-01-19 with total page 79 pages. Available in PDF, EPUB and Kindle. Book excerpt: Pourquoi le chapitre 34 de l''Exode réécrit-il et commente-t-il longuement le Deuxième Commandement ? Pourquoi Dieu a-t-il promis à Abraham toute l''Égypte en Genèse 15 et seulement Canaan en Genèse 17 ? Abraham était-il égyptien ? Pourquoi Dieu a-t-il ordonné à Abraham un sacrifice animal en Genèse 15 et la circoncision en Genèse 17 ? Fut-ce le même Dieu ? Pourquoi n''a-t-il pas ordonné l''excision des filles ? Pourquoi la circoncision à l''âge de huit jours ? Pourquoi Moïse n''a-t-il pas été circoncis ? Pourquoi ne voulait-il pas circoncire son fils ? Pourquoi les Dix Commandements et le livre du Deutéronome ne disent-ils rien de la circoncision ? Basé sur l''identité entre les événements bibliques et l''histoire des derniers pharaons de la 18ème dynastie, ce livre d''histoire et d''exégèse répond à ces énigmes et plusieurs autres. Il montre que le texte des premiers rédacteurs de la Bible, dont la révolution sexuelle était inacceptable aux religieux et féodaux égyptiens, a été falsifié. Il fait à partir de la Bible l''histoire de l''abolition des mutilations sexuelles féminines et masculine lors de l''utopie hédoniste d''Akhenaton. Une fine exégèse montre que la grande raison de l''exil des Hébreux fut moins leur monothéisme que cette abolition. Prouvant par la Bible qu''Abraham et Moïse étaient des pharaons, il apporte une dimension nouvelle à la thèse des Secrets de l''Exode que les premiers Hébreux étaient des égyptiens appartenant à la secte d''Akhenaton (Abraham) qui s''est exilée pour coloniser la Palestine. Fondée sur l''hypothèse que les Hébreux n''ont laissé aucune trace en Égypte parce qu''ils étaient égyptiens, l''immense découverte des Sabbah est cette fois-ci indiscutable. Une campagne de presse l''a dénigrée au prétexte d''absence de preuves "scientifiques". Mais l''histoire n''est pas une science exacte et en multipliant les comparaisons interculturelles dans Le fabuleux héritage de l''Égypte (2004), Desroches Noblecourt a adopté la même démarche historiographique. En 2005, elle mit fin aux médisances dans une interview : "Les Égyptiens nous ont apporté... l''alphabet...". Enfin en 2005, Davidovits a apporté une preuve archéologique indiscutable en montrant que les scribes du temple du temple d''Amenhotep fils de Hapou à Karnak ont rédigé la Genèse tout en dessinant des hiéroglyphes. Cependant, faire de pharaon le dieu unique renforçait plutôt la tyrannie pharaonique. Cette dernière considérait à juste titre la circoncision comme indispensable pour maintenir le peuple en quasi-esclavage. Les fidèles d''Akhenaton se sont exilés parce que les féodaux et les religieux ont voulu, après soixante ans d''abolition des mutilations sexuelles à Akhetaton, remettre en vigueur la circoncision en y soumettant les bébés. Il s''agissait d''imposer la raison du plus fort à des êtres sans défense. Moïse maintint cette abolition pendant les quarante années de l''Exode mais Séthy 1er, à Gilgal, mit fin à celle de la circoncision en négligeant l''excision. La réinterprétation de l''ensemble des grands passages de la Bible sur la circoncision montre que pour la remettre en vigueur après le décès de Moïse, l''élite religieuse falsifia, de façon particulièrement évidente en Genèse 34, le Deuxième Commandement qui l''interdit. La vérité historique rend la circoncision incompatible avec la religion des grands libérateurs humanistes que furent Abraham et Moïse ; les pères égyptiens du judaïsme étaient catégoriquement opposés à la tradition antique des mutilations sexuelles. Nous expliquons ainsi pourquoi Abram et Moïse n''étaient pas circoncis et comment le vizir Aÿ a imposé par la force la circoncision à Abraham et, une fois devenu pharaon, au fils de Moïse. Abram-Akhenaton a aboli la marque de l''esclavage dans la ville qu''il a dirigée pendant une soixantaine d''années. En le faisant déchoir de son titre de pharaon dans sa vieillesse, les féodaux de la 18ème dynastie l''ont réinstaurée, pour les deux sexes. Les Hébreux ont maintenu l''abolition de l''excision mais la circoncis...

Book La Circoncision Dans la Torah  Entre Ex  g  se Et   gyptologie

Download or read book La Circoncision Dans la Torah Entre Ex g se Et gyptologie written by Michel Bertaux-Navoiseau and published by . This book was released on 2019-03-22 with total page 52 pages. Available in PDF, EPUB and Kindle. Book excerpt: Pourquoi Dieu a-t-il promis à Abraham toute l'Égypte en Genèse 15 et seulement Canaan en Genèse 17 ? Abraham était-il égyptien ? Pourquoi Dieu a-t-il ordonné à Abraham un sacrifice animal en Genèse 15 et la circoncision en Genèse 17 ? Pourquoi, dans ce sacrifice, Abraham n'a-t-il pas coupé les oiseaux comme les autres animaux ? Fut-ce le même Dieu ? Pourquoi n'a-t-il pas ordonné l'excision des filles ? Pourquoi la circoncision à l'âge de huit jours ? Pourquoi Moïse n'a-t-il pas été circoncis ? Pourquoi ne voulait-il pas circoncire son fils ? Histoire et exégèse répondent à ces énigmes. Prouvant par la Bible qu'Abraham et Moïse étaient des pharaons, ce livre éclaire la Torah par l'histoire des cinq derniers pharaons de la 18ème dynastie et des deux premiers des ramessides, et vice versa. Né d'une succession de trouvailles étalées sur plus de onze années, il développe les découvertes du best-seller de Messod et Roger Sabbah : Les Secrets de l'Exode (2000), rejetées comme antiscientifiques par les autres égyptologues. Elles s'appuient sur l'idée que les Hébreux ne laissèrent aucune trace en Égypte parce qu'ils étaient des égyptiens comme les autres. Leur grande thèse est que les Hébreux furent les disciples de l'hérésie monothéiste d'Akhenaton qui s'exilèrent pour coloniser la Palestine. Elle repose sur de multiples éléments de preuve : données bibliques et comparaisons interculturelles, renforcées par celles du Fabuleux héritage de l'Égypte (Desroches Noblecourt, 2004). La célèbre égyptologue mit fin à la controverse en adoptant la même démarche historiographique de comparaisons culturelles et en démontrant, comme eux, que les égyptiens ont inventé l'alphabet, hébraïque comme chacun sait. Peu après (2005), Davidovits apporta une preuve irréfutable de l'origine égyptienne des Hébreux : des hiéroglyphes d'une fresque découverte dans le temple d'Aménophis fils de Hapou (Joseph) à Karnak sont identiques au verset 41 : 42 de la Genèse. Leur deuxième grande thèse est que des siècles après la première rédaction de la Torah, pour obtenir leur libération des prisons de Babylone, les Juifs la rerédigèrent en brouillant soigneusement les pistes de leur appartenance à l'Égypte ennemie des Assyriens et en y inscrivant le mythe de leur origine cananéenne. Il semble que le rejet des égyptologues vint plus de ce que leur livre coupe l'herbe sous les pieds du sionisme que d'un manque d'esprit scientifique. Le nôtre renforce cette toile de fond par plusieurs découvertes. Römer (Collège de France) salua la première : le Deuxième Commandement interdit et réprime les mutilations sexuelles. Elle fait de l'Alliance au Sinaï une révolution par rapport au puritanisme moralisateur imposé à Abraham et aux bébés hébreux. Celles concernant les circoncisions du fils de Moïse et d'Abraham suivirent cette étincelle. Vint ensuite celle de l'interprétation de l'Alliance de Genèse 15, la grande Alliance dans laquelle d'une part "Dieu" promit à Abram non pas le pays de Canaan mais toute l'Égypte, d'autre part Akhenaton abolit les mutilations sexuelles à Akhetaton. Tout porte à croire que la grande raison de l'exil des Hébreux fut moins leur monothéisme que cette abolition qui remettait en cause un pilier de la culture patriarcale égyptienne : la domination des femmes et de la jeunesse. Puis, ce fut la découverte du caractère apocryphe d'Exode 34, créé de toutes pièces pour contredire qu'Exode 20 : 5 interdit et réprime les mutilations sexuelles. Enfin, Grimal (Collège de France) nous apprit que l'égyptien antique n'a pas de mot pour désigner la circoncision. Cela éclaire deux périphrases bibliques : "la chair de ton excroissance" et "le crime des pères". L'origine du judaïsme prend un jour nouveau.

Book La naissance du juda  sme  entre ex  g  se et   gyptologie

Download or read book La naissance du juda sme entre ex g se et gyptologie written by Michel Herve Bertaux-Navoiseau and published by . This book was released on 2019-05-27 with total page 52 pages. Available in PDF, EPUB and Kindle. Book excerpt: Pourquoi Dieu a-t-il promis à Abraham toute l'Égypte en Genèse 15 et seulement Canaan en Genèse 17 ?Pourquoi la circoncision ne figure-t-elle pas dans les Dix Commandements et le Deutéronome ?Pourquoi le chapitre 34 de l'Exode réécrit-il et commente-t-il longuement le Deuxième Commandement ?Abraham était-il égyptien ?Pourquoi Dieu a-t-il ordonné à Abraham un sacrifice animal en Genèse 15 et la circoncision en Genèse 17 ?Pourquoi, dans ce sacrifice, Abraham n'a-t-il pas coupé les oiseaux comme les autres animaux ?Fut-ce le même Dieu ?Pourquoi n'a-t-il pas ordonné l'excision des filles ?Pourquoi la circoncision à l'âge de huit jours ?Pourquoi Moïse ne voulait-il pas circoncire son fils ?Pourquoi Genèse 15: 13-16 prédit-il la captivité à Babylone ?Histoire et exégèse répondent à ces énigmes. Prouvant par la Bible qu'Abraham et Moïse étaient des pharaons, ce livre éclaire la Torah par l'histoire des cinq derniers pharaons de la 18ème dynastie et des deux premiers des ramessides, et vice versa. Né d'une succession de trouvailles étalées sur plus de onze années, il développe les découvertes du best-seller de Messod et Roger Sabbah Les Secrets de l'Exode (2000). Elles partent de l'idée que les Hébreux ne laissèrent aucune trace en Égypte parce qu'ils étaient des égyptiens comme les autres. Leur grande thèse est que les Hébreux furent les disciples de l'hérésie monothéiste d'Akhenaton qui s'exilèrent pour coloniser la Palestine. Elle repose sur de multiples éléments de preuve: données bibliques et comparaisons interculturelles, renforcées par celles du Fabuleux héritage de l'Égypte (Desroches Noblecourt, 2004). La célèbre égyptologue adopta la même démarche historiographique de comparaisons culturelles et démontra comme eux que les égyptiens ont inventé l'alphabet, hébraïque comme chacun sait. Peu après (2005), Davidovits apporta une preuve irréfutable de l'origine égyptienne des Hébreux: des hiéroglyphes d'une fresque découverte dans le temple d'Aménophis fils de Hapou (Joseph) à Karnak sont identiques au verset 41: 42 de la Genèse. La deuxième grande thèse des Sabbah est que des siècles après la première rédaction de la Torah, pour obtenir leur libération des prisons de Babylone, les Juifs la rerédigèrent en brouillant soigneusement les pistes de leur appartenance à l'Égypte ennemie des Assyriens et en y inscrivant le mythe de leur origine cananéenne. Nous renforçons cette toile de fond par plusieurs découvertes. Römer (Collège de France) salua la première: le Deuxième Commandement interdit et réprime les mutilations sexuelles. Elle fait de l'Alliance au Sinaï une révolution par rapport au puritanisme moralisateur imposé à Abraham et aux bébés hébreux. Celles concernant les circoncisions du fils de Moïse et d'Abraham suivirent cette étincelle. Vint ensuite celle de l'interprétation de l'Alliance de Genèse 15, la grande Alliance dans laquelle d'une part "Dieu" promit à Abram non pas le pays de Canaan mais toute l'Égypte, d'autre part Akhenaton abolit les mutilations sexuelles à Akhetaton. Tout porte à croire que la grande raison de l'exil des Hébreux fut moins leur monothéisme que cette abolition qui remettait en cause un pilier de la culture patriarcale égyptienne: la domination des femmes et de la jeunesse. Puis, ce fut la découverte du caractère apocryphe d'Exode 34, créé de toutes pièces pour contredire qu'Exode 20: 5 interdit et réprime les mutilations sexuelles. Enfin, Grimal (Collège de France) nous apprit que l'égyptien antique n'a pas de mot pour désigner la circoncision. Cela éclaire deux périphrases bibliques: "la chair de ton excroissance" et "le crime des pères". L'origine du judaïsme prend un jour nouveau. Une certitude: Abraham et Moïse furent des pacifistes qui refusèrent d'envahir la Palestine.